Concerts

En 2024-25, nous interprèterons du répertoire classique et du répertoire traditionnel, le programme est actuellement en cours d’élaboration.

Concerts passés

En 2023-24, nous avons interprété la Messe des morts de Charpentier avec basse continue (épinette, violoncelle baroque, 2 flûtes), solistes, choeurs et mise en espace, ainsi que que de la musique traditionnelle argentine avec l’orchestre La Loca dirigé par Alfonso Pacin.

En 2022-2023, Le choeur a présenté une version scénique d’Orphée et Eurydice de Gluck avec choeurs, solistes, piano et mise en scène.

En 2021-2022, Le choeur a présenté une version scénique de Didon et Enée avec choeurs, récitantes, solistes, piano et mise en espace.

En 2020, nous avons présenté un programme mêlant musique argentine et musique baroque avec récitant, choeurs et mise en espace.

Programme 2020-2021 : La Quinte juste a travaillé autour de l’idée de l’improvisation et la création musicale à partir de chants séfarades, musiques du monde, musique traditionnelle argentine et chants baroque et renaissance. Les concerts ont été annulés pour une raison que vous connaissez bien…

Programme 2019-2020 : Le choeur a travaillé sur un mélange de musique baroque et de musique traditionnelle argentine et baroque.

Programme 2018-2019 : « BACH TO JAZZ »
Le jazz et les oeuvres de Bach ? Voilà des musiques qui semblent à des années-lumière l’une de l’autre, et pourtant … de mystérieuses correspondances, des secrètes alchimies les unissent. En entremêlant extraits de cantate et standards de jazz chorégraphiés, la Quinte Juste propose une expérience unique pour retrouver la beauté des harmonies et des rythmes qui se jouent du temps et de l’espace.

Avec un orchestre de jazz et un continuo piano-violoncelle, des chorégraphies de Charleston et des groupes de 4 à 20 choristes.

En 2017-18, nous avons monté l’opéra Theodora de Haendel.

La saison 2016-2017, quant à elle, s’est construite autour de l’opéra King Arthur de Purcell, tandis que la saison 2017-2018 était autour de Theodora de G.F. Haendel. Les deux oeuvres avaient également été mises en espace, grâce au travail sur le corps mené tout au long de l’année avec Elsa Perault.